J’ai le cœur en tristesse et l’âme déployée en cette heure
Tant de souffrance et de beauté se côtoient en ce monde
Comment ne pas en perdre le Nord ?
Mes mots seront de missive ce soir
Comme des mots adressés à un ami
Comme des verbes offerts au lieu
Je revois les défunts, tous ces défunts proches qui ont quitté leur corps et j’ai l’âme en peineCiel , que le deuil est parfois long à étendre ses ailes
J’accompagne chaque visage, proche ou moins connu de mes douces pensées
L’ambiance d’une herboristerie me remonte à la gorge, inattendue, incontrôlable
Et j’ai envie de te dire que je t’aime, Mon Frère et que tu me manques
Sois en paix en ton chemin
Je prends le relais auprès des parents
Et vous, Amis et âmes côtoyées ici, ailleurs
Chacune de vous m’est empreinte au cœur
Je cultive votre image pour mieux la dissiper et vous rendre libres
Vous qui me devancez de l’autre côté du seuil
J’offre à vos âmes un sourire discret
Dehors il neige et c’est paix offerte
L’immensité du silence en de légers flocons
…
Demain sera autre
J’ai l’âme en peine ce soir et je laisse couler mes larmes
…
Quand je t'ai envoyé mon mail, je ne t'avais as encore lue. Oh ! comme nous sommes en concordance dans notre tristesse et dans nos larmes ...
RépondreSupprimerSalut, je suis retombé sur ton blog il n'y a pas longtemps et j'aimerai reprendre contact.
RépondreSupprimerSimon
Bonjour Kaïkan,
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Ici, la tristesse se déploie à l'heure du temps pour noyer le coeur dans la souffrance.
Là, le manque se dissipe dans le vide du passé pour renaître dans le silence sous l'aspect d'un bonheur nouveau.
Avec toute ma sympathie, Jack le poétiste
Pleurer est bon, cela lave du chagrin.
RépondreSupprimerA l'instant, chère Kaïkan, j'ai envie de te dire : "Je t'aime"
c'est dit.
je t'embrasse
Tant de beauté secrète... Parfois la douceur au creux de la douleur.
RépondreSupprimerUne pensée de tendresse pour toi ...
RépondreSupprimerBisou et chaleur.
RépondreSupprimerJe te porte dans mon coeur et tes peines deviennent aussi miennes.
Pleure et fais de ce précieux liquide remplis de sel une nouvelle mer, un nouvel océan sur lesquelles voguera fièrement le Kaikan.
Peines et souffrances ici bas sont organes de perceptions !
Merci à chacun, ce passage de tristesse est de l'ordre du retournement ... J'apprivoise le face à face, surprise, séduite par cette solitude qui ne m'est plus tout à fait ennemie ... Je reviens sous peu ...
RépondreSupprimerComme c'est fort !
RépondreSupprimerBiz à toi.
Prends ton temps on attendra ... Je t'embrasse.
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