" Le plus grand bonheur, c'est quand
l'oeil découvre la beauté là où le mental na l'aurait pas soupçonnée et où la
main n'aurait osé se poser "
L' Innocence des
objets, Orhan Pamuk
C'est cette même
fascination que je retrouve en ces liens aléatoires que tissent les araignées
entre les objets et ces liens imaginaires crées au hasard des brocantes entre
ces petits riens de chacun ou au gré de joyeux désordres du quotidien
Et soudain là, je
tiens la piste des prochains Cabinets des Curiosités ...
Il est passionnant ce livre de Orhan Pamuk
trouvé hier ( bonne intuition que de le faire déballer, un peu comme on
ouvrirait un tiroir bachelardien ) ,
Je suis surtout interpellée par le parallèle " occulte " e
Chez les 2,
il y a ce pèlerinage de mémoire poétique et biographique lié au quotidien (
lieu, objets, photographies, architectures ( ces espaces des 100 pas des gares
chez Sebald, entre autres ) ... et depuis hier quelque chose bouge en moi, de
cette manière que je connais lorsque se précise une ambiance juste par rapport
à une recherche en cours ...
Je laisse cette coloration, cet espace particulier
doucement se dire en moi, surtout sans précipitation, comme un moment précieux
à ne pas brusquer ...
Profondeur
et légèreté des Simples ...
C'est cette même fascination que je retrouve en ces liens aléatoires que tissent les araignées entre les objets et ces liens imaginaires crées au hasard des brocantes entre ces petits riens de chacun ou au gré de joyeux désordres du quotidien
Et soudain là, je tiens la piste des prochains Cabinets des Curiosités ...
Je lis tout, doucement, quel partage ... Je t'embrasse.
RépondreSupprimerOh, prends ton temps, Mon Ariaga, je t'ai préparé une couvrante et une boisson chaude ... Je suis heureuse de te savoir là ;-))
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