" L'odeur de l'amour dans les maisons closes
Est celle des marées chéries des iguanodons
Ce n'est pas une odeur conjugale
Mais une odeur où la préhistoire se révèle
C'est donc amusant de n'être qu'une cellule vivante
Etalée sur un divan de velours rouge
Cependant que le jazz band infernal de Paris
Rythme la danse quotidienne des affaires "
Mac Orlan
"L'odeur de l'amour dans les maisons closes", la poésie de l'instant insaisissable selon Pierre Mac Orlan...
RépondreSupprimer" Ce n'est pas une odeur conjugale / Mais une odeur où la préhistoire se révèle"
Surtout une exploitation sans complexes du corps féminin et une captation de l'existence et du destin de femmes provinciales pauvres, que l'on perçoit très bien dans le très beau film de Hou Hsiao Hsien, "Fleurs de Shanghaï"...
Merci de ta visite, Kaïkan, et à très bientôt !!!
(PS : espérant que tu trouveras aussi un titre - une identité appropriée - à ce dessin... )