Il égrenait les mélodies du temps ...
Arpenteur désuet aux parois des cathédrales ...
La nuit tombe au coeur des cités ...
Chant silencieux aux faîtes des clochers ...
Et à y tendre l' oreille,
il me semble que les statues se réinventent de nouveaux chants ...
Choeur mélancolique en hommage des saltimbanques condamnés ...
Les moines d'antan osaient aux crépuscules naissants des odes d'anarchie et de liberté ...
Eux seuls me restent en mémoire ...
Palabres dérisoires aux livres de traverse ...
Chante, chante, chante ...
Audaces mélodiques à la ferveur des partitions ...
Très beau rendu. C'est un montage? Un collage? GY
RépondreSupprimerles mélodies du temps : perles d'or et de lumière... petits poèmes d'amour et de grâce qui font don de la vie...
RépondreSupprimeravec toi en partage chère âme
l'harmonie du temps ou se brisent les nuages ...
RépondreSupprimerJe ne sais s'il s'agit d'un montage ou d' un collage ... Je dirais plutôt la rencontre de projets entre Roman, métronome et gestation d' un spectacle kaléïdoscope au sein duquel dialogueront musique, temps, poésie, arts plastiques ...
RépondreSupprimerta création et ton poème sont carrément magnifique
RépondreSupprimerbesos
tilk
Hommage à la musique, au temps auquel la musique donne une forme. Cette image me raconte l'histoire d'un siècle roux, aux extrêmes mêlés.
RépondreSupprimerA bientôt
Dans les méandres des neumes, comme une antienne sortie d'un très viel antiphonaire venu du fond des âges. Polyphonie sauvage et belle, imaginée. Plain chant s'ouvrant sur l'écho d'une haute voute...
RépondreSupprimerTon poème est magnifique!
Une "halte" bienvenue ici. Merci.
RépondreSupprimerMadrigal
RépondreSupprimerprofane et spirituel
les voix
le chant seul s'élève