Qui a osé se mirer en abysses ?
Reflets sans tain au miroir des ans ...
Juste une halte ...
Ici, ailleurs, au minuit des mondes à l'embrasure des imaginaires de parade ...
Pâmoison aux mâchoires à ressusciter ...
A l'ombre des mémoires d' un piano à queue ...
Dents serrées ...
Mains blêmes ...
Doigts plombés ...
Mélodie improbable à se rire des futurs ...
Colère triste à l'affût de notes itinérantes ...
Tympans de voiles tendues à l'assaut d' écumes jazzyes ...
Notes virevoltes aux marées de prusse ...
Gerbes lavandières aux bras des courtisanes d'une nuit ...
Chant salvateur au ventre des amants en miroir d'une nuit sans lune ...
Quel bonheur de laisser libre cours à une émotivité sans limites à travers la plume que rien ne semble arrêter, glissant sur la feuille en autarcie de pulsions de vie ou l’art serait émergence d’une force créatrice que seul le lâché-prise pourrait éditer en cassant les frontières de la folie , libérant cette tempête de mots , d’expressions , de sentiments qui enlacés l’un à l’autre crée la sublimation...
RépondreSupprimerBises Mich
Bruno De cuyper
Ô ! comme j'aime ces couleurs et ces traces d'écriture ... j'y retrouve quelque chose qui ressemble à mon travail...
RépondreSupprimercomme une ressemblance... merci
et belle vie à toi chère Kaïkan
C'est beau à pleurer...
RépondreSupprimerprince-du-silence:
RépondreSupprimerJe suis resté si loin de ton blog! à moi maintenant de m'enchanter de tes textes et de tes images
Une halte et repartir vers un ailleurs toujours en espérance rien qu'un instant volé sans doute à l'éternité.
RépondreSupprimerj'adore cet atmosphère
RépondreSupprimerbesos
tilk